Trois façons méconnues d’en faire davantage en moins de temps (première partie)
L’ÉDITO AFFAIRES
Alors, vous avez essayé les applications de productivité, les groupes de soutien axés sur la responsabilisation, les journaux à puces… bref, tout.
ET POURTANT, vous êtes toujours à la course pour réaliser vos projets.
Si vous en avez assez de cette sensation fébrile dans le creux de votre estomac, voici la première partie de notre série « restez-calme-et-soyez-plus-productif ». Elle présente trois astuces méconnues pour en faire davantage en moins de temps.
1) Limitez vos TEC (travaux en cours).
Une liste de tâches étourdissante augmentera votre taux de cortisol, c’est garanti !
Un système japonais nommé kanban limite le nombre de TEC que vous accomplissez en parallèle, par exemple à un maximum de trois. Chaque tâche est inscrite à un tableau qui comporte trois colonnes intitulées « À faire », « En cours » et « Terminé ». (Des notes adhésives vous faciliteront la vie.) Lorsqu’il reste deux tâches, ajoutez-en une nouvelle.
Vous évitez la tentation de commencer 26 travaux à la fois, tout en obtenant un sentiment de satisfaction chaque fois que vous finissez une tâche.
2) Planification d’horaire : soyez sans pitié.
Selon la loi de Parkinson, le travail s’étend pour combler le temps disponible pour sa réalisation.
Essayez donc de fixer une date limite qui correspond à 50 % du temps qu’il vous a fallu pour accomplir la même tâche ou le même projet la dernière fois.
Masochiste ? Absolument. Irréaliste ? Peut-être. Mais une limite extrême vous oblige à éviter les distractions et à vous concentrer plus intensément.
3) Mangez vos grenouilles.
Exécutez la tâche qui vous semble la plus désagréable dès le matin, en suivant ce principe : si vous commencez en mangeant une grenouille, votre journée ne pourra que s’améliorer par la suite.
L’application de ces conseils peut nécessiter quelques essais et erreurs. Mais la perspective d’être moins débordé et d’avoir plus de temps libre vaut sûrement la peine d’essayer de trouver ce qui fonctionne le mieux pour vous.
L’ABC DE L’IMPRIMERIE
LA RELIURE ALLEMANDE
Qu’entendons-nous quand nous vous parlons de reliure allemande ?
Le processus de reliure allemande commence par la superposition de tous les cahiers à relier. (Un cahier est une feuille imprimée et pliée pour former un ensemble de 8, 16 ou 32 pages.) Ensuite, le pli de tous les cahiers est entaillé à l’aide d’une scie afin que la colle puisse y pénétrer davantage. Une fois la colle appliquée sur cette surface, la couverture est collée par-dessus, puis les trois côtés non collés sont coupés de façon égale.
L’INSPIRATION : LA LECTURE DU MOMENT